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19 septembre 2019 1 min read

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Voici une quinzaine de jours, KBC, la deuxième banque du pays, et l’une des plus rentables en Europe, annonçait la suppression (sans licenciements secs mais en jouant sur les départs naturels) de 1.400 postes en trois ans. Un exercice de communication délicat que son CEO, Johan Thijs, a réussi à résumer en une phrase choc : « Nous ne voulons pas devenir le Nokia des banques ! » Traduction : KBC se porte bien mais ne peut pas se permettre de se reposer sur ses lauriers. La majorité des Belges se tournent aujourd’hui vers leur smartphone plutôt que vers leur agence pour gérer leurs petits soucis d’argent.